Alan x Outwork : Trouver sa place dans une équipe

Un mois, dix talents… et tout à construire.

Chez Alan, l’arrivée de Lucie à la tête d’une équipe fraîchement formée n’avait rien d’un long fleuve tranquille. À peine le temps de se présenter, déjà des défis : des membres venus d’anciennes équipes, des rythmes très différents, certains ultra-engagés, d’autres plus réservés… et la sensation que chacun avance dans son couloir. Il fallait tout reprendre à la base, sans perdre de vue l’exigence d’efficacité du business : pas de hiérarchie inutile, pas de temps à perdre… mais un vrai besoin d’entraide et de compréhension mutuelle.

La quête d’une équipe (vraiment) connectée

L’équipe de Lucie, c’est le reflet des nouveaux enjeux du travail : transparence comme prérequis, mais aussi difficultés à vraiment se dire les choses. Pas de grosses tensions, mais de petits silences qui en disent long. Certains osent peu s’exprimer, d’autres peinent à trouver leur place, et le feedback circule parfois difficilement.

Derrière l’envie d’avancer vite, un besoin fort : savoir sur qui compter et oser demander de l’aide, sans jamais avoir l’impression d’être seul avec ses difficultés.

Verdonne s’est imposé comme le cadre idéal : une bulle où chacun peut (enfin) prendre le temps de découvrir les autres… et de s’écouter soi-même.

Un atelier Outwork pour casser la glace… et bien plus encore

Dès l’accueil, le ton est donné : la journée ne sera pas un enchaînement de slides mais un vrai moment de respiration collective. Première étape : chacun partage le dernier projet qui l’a fait vibrer – pas question de tricher, ici tout le monde joue le jeu, y compris les plus réservés.

Peu à peu, la confiance s’installe, les binômes fonctionnent et le collectif prend forme.

Le point d’orgue de la matinée : un travail de fond sur la matrice des rôles et attentes. Chacun se confronte, par écrit puis à l’oral, à ce qu’il apporte à l’équipe et à ce qu’il attend des autres. Un exercice parfois déstabilisant, mais toujours bienveillant, où les divergences et incompréhensions s’expriment enfin… pour être dépassées ensemble.

Des Pokémon Cards pour révéler les super-pouvoirs de chacun

L’après-midi, place à l’originalité façon Outwork : chaque membre crée sa « carte Pokémon », version 2025. Super-pouvoir professionnel, animal totem, compétence à faire évoluer… Le collectif découvre, souvent avec surprise, les forces cachées de chacun, et ose partager ses envies de progression.

Le format est ludique mais le résultat est sérieux : chacun repart avec une carte qui lui ressemble, et le groupe gagne en complicité.

Oser demander, oser tendre la main : les nouveaux réflexes d’équipe

Ce qui ressort, c’est cette envie renouvelée de fonctionner autrement.

• Demander de l’aide devient un cadeau qu’on fait à l’autre, plus un aveu de faiblesse.

• L’entraide peer-to-peer s’invite naturellement, sans crainte de gêner.

• Chacun connaît mieux les forces et faiblesses de ses collègues, ce qui crée des ponts là où il y avait des silos.

• Et surtout, plus personne n’a l’impression d’être seul avec ses doutes ou ses galères.

En quittant Verdonne, l’équipe de Lucie n’a pas seulement partagé un bon repas et quelques rires : elle a construit les fondations d’une collaboration authentique, où chaque voix compte – et où la diversité devient un moteur, pas un frein.

Parfois, il suffit d’oser un atelier différemment pour révéler ce qu’une équipe a de plus précieux : sa capacité à se transformer, ensemble.