ERS : Construire une culture du feedback : ERS franchit un nouveau cap collectif

Chez ERS, on ne compte plus les passages à Verdonne : quatre Outwork, et chaque fois un nouveau défi à relever. Mais en mai 2024, l’enjeu est tout autre. Après une levée de fonds et dans un contexte 100% remote, c’est toute l’équipe – vingt personnes dispersées aux quatre coins de la France – qui se retrouve pour une matinée intense : mettre le feedback constructif au cœur de la culture d’équipe.

Le feedback, une histoire de confiance (et de méthode)

Pas question ici d’ajouter un énième process à la pile. Le vrai sujet : comment dédramatiser le feedback pour en faire un levier de progression, pas un moment redouté ?

Dans une équipe qui collabore la plupart du temps à distance, le risque est vite de se replier sur soi, d’éviter les conversations difficiles… ou de passer à côté des pépites de progression que seul un regard extérieur peut révéler.

Une matinée rythmée, axée sur le concret

Dès 10h, l’ambiance est posée : bienveillance, clarté, et un objectif partagé – faire du feedback un réflexe naturel, compris et assumé par tous.

Le temps d’un tour de table, chacun pose les mots sur son rapport au feedback : entre ceux qui en ont déjà l’habitude et ceux pour qui cela reste un sujet sensible, le contraste est là… mais la volonté d’avancer ensemble aussi.

Le cœur de l’atelier : présentation d’un outil de feedback simple, pragmatique, puis mise en pratique immédiate. Par petits groupes, les échanges deviennent concrets, chaque participant s’exerce à donner et à recevoir un retour, en sortant des généralités pour viser l’utile et l’actionnable.

L’objectif n’est pas de “faire joli” mais de s’entraîner, de se tromper, d’ajuster, d’oser.

Les retours d’expérience fusent : ce qui fonctionne, ce qui coince, ce qui pourrait être amélioré pour qu’au retour au remote, l’outil ne reste pas dans un tiroir.

Faire du feedback un standard collectif

La dernière séquence marque le tournant : chaque groupe propose ses idées pour adapter et améliorer l’outil. L’ambition : en faire un standard ERS, un réflexe partagé, et non une exception réservée à un séminaire.

Chacun repart non seulement avec une méthode, mais surtout avec la conviction que le feedback, loin d’être une critique, devient la clé pour progresser, grandir et s’épauler, même à distance.

Au-delà de l’atelier, c’est la promesse d’une équipe qui apprend à grandir ensemble, à transformer la transparence en moteur collectif, et à faire du feedback un pilier de sa réussite future.